Les Brigades du Tigre
En 1909, Faivre a un rendez-vous secret avec Georges Clemenceau qui le charge de trouver l’origine des fuites existantes dans la haute administration de l’État. Valentin va infiltrer le gratin du tout-Paris. Pour cela il fait appel à un « mentor », le marquis de Chatignac, qui a eu affaire à lui du temps où il travaillait aux mœurs. Au bout d’une semaine, il a une piste, la maison de haute couture de Madame de Wambrechie. Lors d’un de ses défilés, en présence de Valentin, l’une des mannequins, Émilienne, s’écroule. Valentin demande à la voir. Elle est morte, tuée par balle. Aucun des témoins n’a rien entendu. La douille est retrouvée par Valentin qui comprend que l’assassin a utilisé une invention récente, le silencieux. Terrasson a l’idée d’établir, sur les indications d’une autres mannequins, Coco, une sorte de portrait robot. Malgré la rétractation de Coco et les menaces de Wambrechie, Valentin décide de faire publier le portrait robot. Chez la victime, Valentin découvre tout un attirail photographique. Valentin va voir Madame de Wambrechie et l’interroge sur le train de vie de la victime qui ne correspond pas à son salaire. Le corps de l’assassin est retrouvé, un nommé Surgère, un truand qui travaillé pour Max le Flamand, un caïd qui semble avoir quitté le milieu et vivrait comme un gentleman farmer dans le Loiret…